Les cas de VIH chutent de façon spectaculaire en Australie


Avec l’évolution de la science, nous sommes sur le point de mettre fin au virus de l’immunodéficience humaine une fois pour toutes. Les avancées rendent visible une perspective plus optimiste. Un bon exemple est le cas de l’Australie, un pays où les cas de VIH ont considérablement diminué entre 2012 et 2017.

Mais quelle est la raison exacte de ce déclin ? L’explication réside dans une la consommation de médicaments plus efficaces. En 2012, le nombre de cas de VIH dans la communauté est tombé à 29 % et a poursuivi son déclin à 13%. d’ici 2017.

En outre, les hommes qui deviennent séropositifs sont de plus en plus acceptés aux traitements, ce qui réduit encore le nombre d’infections.

L’étude développée par le Dr Denton Callander et présentée à Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes explique les raisons de cette baisse de la contagion. Le fait est que leLe VIH qui est indétectable par le traitement devient également non transmissible.

Grâce à l’évolution des médicaments au cours des dernières années, lorsque le VIH est traité avec des antirétroviraux efficaces, il ne peut pas être transmis par voie sexuelle. Parce que lorsqu’une personne séropositive suit un traitement réellement efficace voit sa charge virale baisser de façon spectaculaire (la quantité de virus dans le sang). Cette diminution est telle qu’elle rend la transmission impossible.

Selon l’étude, le nombre d’hommes porteurs du VIH non diagnostiqués a été réduit de 11 % à 9 % ces dernières années.

Ceci est particulièrement important compte tenu du fait que Ce déclin était apparent avant que la PrEP ne soit approuvée et ne commence à être commercialisée.

Cette étude montre qu’un traitement efficace du VIH réduit considérablement les risques de transmission. En fait, au cours de l’année dernière, une étude PARTNER2 a examiné différents couples homosexuels dont un seul partenaire était séropositif. Pendant l’étude n’ont pas utilisé de préservatifs dans leurs relations sexuelles et pendant huit ans, seules 15 d’entre elles ont contracté.

Cela montre clairement que les médicaments antirétroviraux réduisent considérablement la spectre des possibilités de transmission.